Collection Jeune – Vieux. Échanges Internationaux (3/3)

J’ai accepté de prendre deux jeunes garçons anglais chez moi, dans le cadre des échanges internationaux du club de rugby de ma ville contre nos homologues anglais.
Je reprends goût au sexe grâce à ces deux garçons, mais au repas de clôture, je tombe sous le charme du jeune capitaine anglais, à qui je propose d’aller chez moi.

Nous sortons et dans la voiture nous échangeons notre premier baiser, des gens entre et sorte de la salle des fêtes, un instant, j’ai l’impression de voir Pierre sortir regarder à droite et à gauche puis rentrer.
Je me fiche de tous, je suis de nouveau la jeune pucelle que j’étais quand j’ai connu Fred, à peine arrivé, ma porte ouverte, je tombe à genoux, défait le pantalon du costume aux couleurs du collège anglais et je sors la bite la plus énorme que j’ai pu voir de ma vie.
À la limite d’être éléphantesque, j’exagère un peu, mais pas autant que cela, je la prends dans ma bouche comme je l’ai faite avec celles des deux garçons hier, aussi grosse que mon avant-bras, j’avais entendu dire que les noires étaient bien montées, là, je suis servi, je l’entraîne vers mon lit encore défait des agapes de ma nuit.
Nous sommes dénudés quand il s’allonge et que je viens présenter ma chatte à ce phallus surdimensionné.

• Je veux te dire pourquoi tes copains étaient en méforme cette après-midi.

Je lui raconte tout ce qui s’est passé hier de mon peignoir ouvert sans que je l’aie fait exprès, jusqu’au petit train dans la cuisine.

• Je comprendrais que tu repousses une pute comme moi, j’ai une circonstance atténuante, je manquais de sexe depuis le départ de mon mari qui m’avait trompé.

Pour toute réponse, il me saisit par les anches malgré la position inconfortable ou il se trouve, il me fait descendre centimètres par centimètres jusqu’à ce que son gland vienne toucher mon utérus.
Les deux bites misent en même temps en double vaginal la nuit dernière étaient loin de me pénétrer autant, je savoure à peine sa pénétration qu’un cri rauque sort de ma gorge.


Pour la première fois avec Alex, il me fait atteindre l’orgasme parfait, sommet que je n’avais jamais atteint depuis le début de ma vie sexuelle, dommage qu’il me quitte demain.
La nuit est loin d’être fini et comme il a gardé son sperme pendant que je prenais mon plaisir deux fois ayant des vagues qui me font surfer sur leur sommet successivement.
Il est trois heures quand nous sommes réveillés par des chansons grivoises chantées en anglais, le curé d’une célèbre chanson grivoise est d’un autre lieu de la côte anglaise que celui de chez nous qui est de Camaret, la conversation que nous avons avec eux se fait dans une voix incertaine pour eux.

• Regarde notre pute est là, c’est dégueulasse Alex, tu nous as piqué notre salope, nous l’avons cherché partout.

Alex se lève bandant à moitié.

• Bande de petits cons, Joëlle est une femme honorable et vous devriez la respecter toi Tom qu’elle ait fait de toi un homme et toi John grâce à elle d’avoir assouvi tes penchants homos.
Rejoignez votre chambre et emmanchez-vous ici, c’est une chambre d’une grande dame, pour votre gouverne, ma femme est prof d’Anglais et a tout compris des propos que vous avez tenus en anglais.
Allez disparaissez avant que je vous mette ma pine dans le cul.
• Alex, ta pine si elle trouve sa place dans la chatte de la prof, grande bien lui fasse, Tom viens, je me contenterais de ton anus

Les deux garçons ronds comme des queues de pelle quittent ma chambre.

Les deux homos se donnant du plaisir ont réveillé l’instinct animal de mon amant, il me couche sur le dos et nous prenons un dernier plaisir quand il me prend dans la position du missionnaire, classique position et la seule connue par Fred.

Je pourrais être déçu, mais la puissance des coups de reins de mon amant, doublé par mes jambes que je croise derrière son dos m’agrippant à lui comme une sangsue, me transporte.
Soudé par nos bouches, comme par mon sexe qui l’absorbe pour lui tirer son sperme chaud afin qu’il remplisse mon vagin quand il l’expulse avec un grand cri de plaisir.

Cette fois, je n’ai pas joui, entièrement tournée vers celui qui va m’abandonner pour retourner dans son Angleterre.

Il est dix heures quand mon réveil nous rappelle à la réalité, j’ai bien fait de le mettre par précaution, car le bus anglais ne souffrira d’aucun retard.
De plus, Alex doit passer chez Pierre ou ses affaires se trouvent, je crois que lorsque j’arrive au volant de ma voiture avec mon bel étalon, je suis définitivement grillée, qui peut croire que les deux alcooliques dormant sur le siège arrière ont pu empêcher Alex de s’occuper de ma chatte.
Surtout, qu’il est en pleine forme et que devant tout le monde, il me porte dans ses bras comme un vulgaire fétu de paille en arrivant au bus.
Tom débarque de ma voiture et semble avoir mal au cul, son copain l’ayant défoncé une bonne partie du temps où je me faisais prendre comme la catin que je suis certaine d’être devenue pendant cet échange international.

Quand le car s’éloigne après un dernier geste de la main, deux culs sont collés à la vitre, Tom et John font les zouaves, quant à Alex assis à leurs côtés se retournant me font un signe de la main sur ses lèvres, jusqu’au virage me le cachant définitivement.
On pourrait croire que mon aventure s’arrête là, c’est mal connaître Alex qui malgré ses bientôt vingt ans a pensé à tous.
Quand nous nous sommes réveillés après un premier baiser nous aurions pu remettre directement le couvert, mais avant d’aller réveiller les sodomites, il a élaboré un plan que je mets en pratique le lendemain de mon dernier cours au collège.
Un taxi vient me conduire à l’aéroport de Toulouse, l’avion que je prends décolle et j’ai à peine le temps de rêver à ma nouvelle vie que je suis dans ses bras et qu’il me conduit dans sa maison comprise dans le contrat professionnel qu’il a signé dans le plus grand club londonien avant de venir en France.

Il doit reprendre les entraînements fin juillet et nous avons tout un mois pour profiter de notre jeunesse.

C’est le troisième soir qu’il m’encule dans la cuisine, ayant dégagé mes intimités en me faisant mettre un genou sur la table.
C’est à ce moment qu’il pimente notre jeu par un peu de douleur et surtout de soumission, car dès qu’il s’est présenté, qu’il s'est introduit éclatant ma rosette, il me prend les cheveux les tirants vers l’arrière à me faisant venir les larmes aux yeux.
En août, nous retournons discrètement à Toulouse ou le notaire me fait signer la vente de ma maison, nous prenons un taxi pour le bord de mer bordelais ou nous avons acheté un bungalow donnant directement sur la plage, mon fils est là et s’entend à merveille avec Alex.
Les deux garçons jouent dans l’eau, mais sans aucune mauvaise pensée du genre de celle qui a rapproché Tom et John, un seul problème.
Je suis un peu coincé de faire entendre à mon fils et belle fille dont leur mère est devenue la chienne décrite plus haut après mes exploits amoureux.
Nous les quittons avec regret, surtout mon petit-fils.

De retour à Londres, Alex est un compagnon de rêve, je vois bien certains regards qui se posent sur nous, ce qu’il y a de bien dans ma situation, c’est qu’avec sa carrure, il dissuade toutes les pisses froides de faire la moindre réflexion, ce matin il m’a fait hurler de plaisir, sous la douche que je voulais pourtant prendre seule.

En septembre, hors de question que j’arrive en retard au lycée privé ou j’ai été embauché comme professeur de français après avoir envoyé ma démission à l’Éducation national en France, dès mon installation à Londres.
Prof d’Anglais en France, prof de Français en Angleterre, et surtout prof de Français pour Alex qui souhaite parler parfaitement notre langue.
Il avance très lentement, car chaque cour systématiquement finie soit sur le canapé, voire la chaise où il est assis pour lui donner ses cours, la meilleure position reste pour moi quand il me fait hennir me tirant les cheveux comme il la fait en France, mes seins reposant sur ses cahiers.

Aujourd’hui, je suis en train de corriger un devoir de mes élèves, il me couche sur le dos et rapidement me pénètre, quand il éjacule sa verge sort de mon tabernacle et un jet vient barrer le cahier d’un certain Charles.
Que va-t-il se passer quand je vais le rendre à son propriétaire, j’essaye de réfléchir à ce que je vais lui dire, je pense au lait concentré qui est de substance à peu près identique, mais si cet élève veut voir le goût du lait, il pourrait lécher son cahier ?
La seule solution, c’est d’arracher les pages et de les recopier, c’est Alex qui si colle, il fait d’une pierre deux coups et prend un cours de vocabulaire lui faisant gagné du temps.

Alex a commencé sa saison avec son club et malgré son âge, il est appelé au sein de l’équipe d’Angleterre, je suis dans la tribune avec les femmes des joueurs, elles ont toutes moins de trente ans, mais aucune ne se permet de faire des remarques.
En février, nous prenons le chemin du stade de France mettre une nouvelle déculottée nous les rosbifs à notre coq, mon fils est venu en avion invité par Alex qui lui a envoyé des billets.
Il est remplaçant au début du match, il entre à la 70ème minute et marque l’essai de la victoire, le matin, j’ai emmené ces dames dépenser les livres que leurs maris gagnent, pour courir les grands magasins, au deuxième étage, un jeune homme vient se coller à moi.

• Tu viens aux toilettes pour que je te fasse voir mon gros zob !
• Vous avez vu le match France - Angleterre hier.
• Oui.
• Je suis la femme d’Alex, vous savez le noir, deuxième ligne anglais, voulez-vous que je l’appelle.

Il détale, suis-je assez jeune pour attirer tous les gamins à essayer de me baiser, les kilos que j’ai perdus sont certainement pour quelque chose où c’est la jeunesse d’Alex qui irradie mon corps, vous savez celui de la chienne qui aime se faire prendre sur les tables.
Je n’ai qu’une seule pensée à l’aube de ma nouvelle vie avec mon homme, vivent les échanges internationaux.

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